Dans leurs contacts avec leurs codétenus, les surveillants ou encore les professionnels du service pénitentiaire d’insertion et de probation au sein des établissements pénitentiaires dans lesquelles elles sont incarcérées et dans leurs échanges avec l’extérieur (avocat, proches à qui elles ne peuvent téléphoner, visiteurs et autres intervenants ignorant la langue des signes, ...), les personnes détenues sourdes sont confrontées à d’évidentes difficultés de communication. Les activités qui leur sont proposées en détention (...)